Douce folie, pourvu que jamais tu ne nous quittes. {Hot} |Kayla Johnson|

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Sortant de la boite, il la guida jusqu'à sa voiture, arrivé près de sa Nissan bleu argentique, elle l'allongea sur le capot de la voiture, l'embrassant avec envie, il caressa ses fesses avec fermeté, l'attirant un peu plus à lui, pour ressentir un peu plus ce contact fougueux et ardent. Elle s'éloigna alors de lui, passant une main dans ses cheveux blonds avec charme, il la regarda faire le tour de la voiture pour rejoindre la porte du passager. Contrôler ses pulsions, difficile mais pas impossible. Si ça n'avait tenu qu'à lui, il n'attendrait pas d'avoir rejoint son appartement. Mais c'est toujours bien mieux quand on retarde l'envie, qui croit à mesure qu'augmente le désir. Tel une bombe à retardement, on ne sait ce qu'il pourrait arriver à la fin du compte à rebours. La suivant du regard, il prit place derrière le volant, démarra le moteur pour rendre la direction du Sud. Des regards furtifs aux sourires plein de promesses. Tantôt le regard posé sur elle, tantôt sur la trajectoire rectiligne qu'imposait le bitume face à lui. Il sentit sa main caresser son genou pour glisser le long de sa cuisse. Il tourna le regard vers elle, se passant la langue sur les dents.

Elle se faisait si désireuse, il voyait tout le désir qu'elle ressentait dans la profondeur de son regard, dans la précision de ses gestes lorsqu'elle glissait ses doigts sous son T-shirt puis le long de sa ceinture. Il ne faisait qu'écraser un peu plus l'accélérateur un demi-sourire sur les lèvres. Atteignant rapidement les quartiers résidentiels du Southland, il s'engouffra dans un sous terrain y arrêtant sa Niss' à l'abri des regards. Il la guida jusqu'à l'ascenseur, s'éprenant de son corps, durant la remontée, glissant sa main le long de sa jambe, la passant sous sa jupe alors qu'il l'embrassait langoureusement. L'engin mécanique se stoppa au troisième étage, il en ouvrit les grilles, l'entrainant jusqu'à une fine porte verte qui avait déjà quelques années, victime des affres du temps et de ses représailles.

L'appuyant dos à la porte, il accola son corps contre le sien, embrassant son cou avec passion logeant la clé dans la serrure de sa main libre pour déverrouiller la porte. Lorsqu'il entendit le cliquetis significatif, il fit glisser ses mains dans son dos, épousant sa cambrure naturelle, descendant le long de ses fesses pour la soulever du sol. La serrant contre lui, ses jambes enserrant sa taille, rendant leur contact plus sensuel encore, il ouvrit la porte, pénétrant à l'intérieur, pour la refermer aussitôt. La plaquant violemment contre cette dernière, ils venaient de faire tomber la dernière barrière qui les retenaient encore de se laisser consumer l'un l'autre par ce même désir qui les animait tous les deux. Ses mains ne devenaient que des caresses dirigées habilement pour que ne cesse ce puissant sentiment qui l'envahissait et qui l'attirait toujours un peu plus fortement contre elle, la rendant si sensuelle, si luxurieuse. Sa respiration saccadée et désordonnée n'était plus d'un souffle. Ses lèvres contre sa peau si douce, contre les siennes, un échange tangible, un tel besoin charnel de s'éprendre de son corps l'espace d'une nuit, hors de tout contrôle. Il avait tant envie d'elle, elle occupait ses pensées les plus immédiates. Il n'avait plus envie de penser à autre chose qu'à elle, si belle, si elle, se donnant enfin à lui. Il pouvait la sentir sienne sous ses mains. Elle ne lui refusait alors plus rien.

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Bha alors monsieur Mandrake on reste figé ?

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Qu'il était si bon de ressentir autant de sentiments dévaster son être en seulement quelques secondes. Une ascendance d'émotions, croissantes, déferlantes, parsemait son être à chaque fois qu'il s'éprenait du corps de Kayla, toujours plus férocement, toujours plus ardemment. Ses mains sur sa peau d'une douceur incomparable, ses lèvres toujours plus enivrantes. Son regard sur lui plus prégnant qui lui faisait crier à l'exclusivité. Il n'avait plus envie de penser à tout autre ailleurs, ses pensées sur elle et sur personne d'autre, pour apprécier encore plus profondément le désir qu'il éprouvait à son égard, toujours plus brûlant. Une stimulation sans égal dépolarisant dans les extrêmes son potentiel maximum. Il avait tant envie d'elle en cet instant que la fin du monde pourrait les surprendre, il se fichait par mal du sort de l'humanité. Égoïstement, jalousement, exceptionnel et fanatique. Il voulait être le seul à ressentir pareil sentiment. Être le seul à avoir cette emprise sur elle un peu plus forte à chaque étreinte. Il voulait la posséder toute entière, qu'elle ne puisse plus répondre de son corps, n'agissant que par réflexe aux stimulations qu'il lui soumet, durablement. Se laisser emporter par ce torrent d'actions toutes aussi fabuleuses les unes que les autres, et la voir, elle, au centre de ses interactions. Elle, le produit de ses désirs les plus fous, le fruit défendu longtemps prohibé, à présent, totalement libéré de toute censure. S'exprimant avec autant de vraisemblance qu'il pourrait rendre n'importe quel mirage pour une réalité un temps soit peu qu'elle en constitue la matière. Divinement sublime.

Elle lui retire son t-shirt, il l'embrasse avec plus d'ardeur. Elle resserre un peu plus ses jambes autour de sa taille avant de le repousser, et de prendre la direction du couloir. Il la seconde, le regard captivé par ses lignes parfaites. Elle fait quelques pas, se caressant avec sensualité. Il inspire et expire lentement pour calmer sa fougueuse frénésie. Portant ses mains à son cou, elle décroche sa jupe qui gagne le sol la seconde d'après découvrant son corps joliment proportionné, dans des petits, tout petits sous-vêtements charmeurs. Le blanc de son assortiment en dentelle est agréablement mis en valeur par ses formes avantageuses. Elle se tourne alors vers lui, son regard n'ayant pas une seule fois dévié de sa trajectoire fixement posé sur elle. Terriblement sexy, elle s'exclame à son encontre, un fin sourire sur les lèvres. Julian se mort la lèvre inférieure avant de la regarder avec plus d'intensité formulant ses mots.

– Comme s'il pouvait en être autrement …

Elle avait en cet instant, toute son attention. Impossible qu'il attarde son regard ailleurs que sur elle. Avançant dans le couloir elle se retourne à nouveau, dos à lui, la vue sur son string est inconditionnelle. Elle pousse alors la première porte, celle de sa chambre, y pénétrant lentement. Il défait sa ceinture qu'il fait claquer avant qu'elle ne rejoigne à son tour le sol. Alors qu'elle franchit le seuil de la chambre, il pose ses mains sur ses hanches, l'attirant à lui. Ses mains glisse sur son ventre qu'il caresse avant de remonter ses mains sur ses seins, logeant sa tête dans un creux de son épaule, ne perdant rien du spectacle qu'elle lui offre. Ivre d'une telle sensation. Sa main glisse sur sa peau faisant tomber les bretelles de son soutien gorge l'une après l'autre avant de défaire l'attache d'une main et de le jeter un peu plus loin. Il l'embrasse avec plus de passion, l'étreignant plus fortement à lui sa peau si chaude contre la sienne, suave.

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Je vois que je te fais de l'effet..

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Quel homme serait en mesure de résister à la tentation qui portait son nom, fièrement, sensuellement, irrésistiblement. Non, pas même lui ne le pouvait. Et encore faudrait-il qu'il fasse preuve de volonté. La seule qu'il arrivait encore à maitriser était celle qui guidait ses mouvements, sauvagement, fermement. D'une motivation à toute épreuve quand on en connaissait le gain. Kayla, presque nue dans son appartement, seulement vêtue d'un string. Belle, insoumise, désireuse. Pressant son corps contre le sien, elle fit pression sur ses épaules de ses avant-bras pour se hisser. Il la souleva alors, posant ses mains sur ses fesses qu'il caressait du bout des doigts. Ce regard intense qu'elle lui lançait serrant un peu plus ses jambes autour de sa taille, qui lui faisait en vouloir encore plus. Embrassant son corps, elle rejeta sa tête en arrière pour lui laisser plus d'accès. Ils rencontrèrent le mur dans le dos de la jeune femme. Il se rapprocha encore plus d'elle, entrer en son contact, s'éprendre si intensivement du corps de l'autre. Il sentit ses ongles dans son dos, signe de tous les bons sentiments qui prenaient possession d'elle. De l'ardeur, de la vivacité, toujours plus de sensualité. Le bruit lourd de ses escarpins sur le sol qu'elle venait d'ôter marquait une étape supplémentaire à leur accession commune. Le boxer de Julian tomba tout autant, ses muscles se tendirent à mesure de sa respiration s'accélérait un peu plus fortement à chaque seconde. Elle fit glisser ses mains le long de son torse; Alanguissement.

Il était insurgé par tant d'émotions qui réunies rendaient leur ébats plus enivrants; Affermissement. Il caressait son corps de ses lèvres, ne se lassant pas de la douceur de sa peau, de son odeur à vous faire monter les larmes aux yeux. Ses muscles tendus, ses gestes toujours plus fermes et dirigés; Affirmation. Kayla resserra ses jambes autour de sa taille, inversant les rôles. Il se retrouva alors dos au mur; Confirmation. Elle lui montre ce dont elle est capable, loin d'être désarmée et docile. Descendant le long de son corps nu pour poser les pieds à terre, arrivant à hauteur de ses épaules, elle lève le regard vers lui, il la regarde sans faillir bien que cette action ravage son être. Une telle ampleur. Une telle concentration. Ses mains se joignent aux siennes, elle entrelacent ses doigts aux siens avant de les plaquer avec détermination contre le mur. Il ne détache pas son regard du sien, lui signifiant qu'il lui laisse les rênes si alors elle veut les prendre, et qu'il est réceptif à toute action de sa part. La jeune femme, se hissant sur la pointe des pieds, effleure ses lèvres, langoureusement. Il est sous le charme, incapable d'impassibilité, d'indifférence. Et elle l'a très bien sentit, aux paroles qu'elle formule, à ce regard toujours aussi insistant et profond. Indiscutable est ce qu'elle pense et ce qu'elle veut en cet instant précis.

– Ce n'est pas comme si tu pouvais en douter … Lui murmura t-il, l'embrassant avec fougue et adoration.

Déchainant les passions, il glisse ses mains sur ses épaules, puis dans son dos. Arrivant à sa taille, il l'attire fermement à lui continuant de faire glisser ses mains sur son corps. Les passant sous son string, il continue sa progression, s'accroupissant jusqu'à ce qu'il lui gagne le sol. Embrassant sa cuisse, il remonte lentement vers elle, caressant ses jambes. Une fois totalement en station debout, il l'étreint plus fortement, la conduisant jusqu'au lit sur lequel il l'allonge. Il la surplombe alors l'embrassant avec passion, rapprochant son corps du sien, passant une main dans ses cheveux.

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Ce n'est pas comme si tu pouvais en douter…

Je t'avoue que ça fait longtemps que j'attends ça.

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Qu'il l'avait tant désiré, qu'il avait tant espéré ça pour vrai. Combien de fois, combien de nuits, pendant combien encore de répétitions ? Il ne pouvait le dire. Mais depuis qu'il l'avait rencontré et qu'elle ne faisait que se refuser à lui, elle avait occupé toutes ses pensées. Il n'avait pensé qu'au moyen de la faire céder. Il n'avait réfléchi qu'à la façon de la faire sienne, même si ce n'était que pour une nuit et qu'au petit matin elle recouvre sa liberté d'antan, parce qu'il ne cherchait en rien à la changer. Non, il la voulait telle qu'elle était et rien d'autre. Pour ce qu'elle lui avait affirmé, pour la façon qu'elle avait de lui résister, et même quand il croit que c'est gagné, elle continue cependant de lui montrer qu'il est loin de dominer, et elle, loin d'être soumise. Il la veut pour ça, pour cette continuelle opposition face à lui, à cet affront imposé et sans appel qu'elle lui colle sous le nez à chaque rencontre. Pour lui signifier qu'elle est là quoi qu'il advienne et qu'il ne lui passera pas sur le corps s'en se frotter à sa hargne et sa ténacité.

Enfin dans le cas présent, on pourrait en croire tout le contraire. Il la surplombe, elle rend parfaitement tout le désir qu'elle ressent dans chaque mouvement de son corps. Kayla passe ses ongles dans son dos, il aime ça. Puis enserrant sa taille de ses jambes, resserrant fermement ses cuisses, elle le fait basculer à son tour sur le lit pour le surplomber. Oui, définitivement insoumise. Il lui sourit agréablement avant qu'elle ne l'embrasse dans son cou. Il sent la marque qu'elle laisse avec ses lèvres. Elle fait glisser sa main sur son torse avec langueur et passion, descendant très au sud. Elle se fait plus sensuelle sur son corps. Les muscles de Julian se tendent à mesure qu'elle suit la trajectoire de sa main. Il repousse sa tête en arrière pour mieux apprécier ce qu'elle lui fait sentir. Tous ses sens sont en alerte et dirigés vers elle. Leur baiser se fait fougueux alors qu'elle bouge son bassin avec envie et volupté. Il entretient le mouvement de son corps par le sien en action. Ses mains dans les siennes, elle les maintient sur le matelas imposant sa domination, il la regarde se passant sa langue sur les dents avant d'entrer en contact avec la sienne pour l'embrasser avec désir et envie. Elle accentue le rythme de plus en plus vite, de plus en plus fort, soutenant la cadence. Elle fait glisser ses doigts entre les siens lui mordillant son lobe d'oreille avant de lui formuler ses mots. Un large sourire se fait visible sur les lèvres de Julian avant qu'il ne lui réponde entre deux respirations :

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J'étais à présent coller au lit, mes poignets pris entre ses mains d'une étreinte très forte qui laisserait surement des marques demain matin mais que m'importait. La situation dans laquelle il m'avait mise faisait augmenter mon rythme cardiaque, la chaleur déjà folle de mon corps. Je tenta de lui résister mais sa force était trop supérieur à la mienne. J'attrapai sa lèvre inférieur entre mes dents je n'étais pas tenter de lui laisser carte blanche en gardant juste les jambe écartés, je resterais fidèle à moi même.

[ En cours ]

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