Douceur et tendresse [Probable Hot][Emy]

La route n’avais pas était très longue jusqu’à Bel Air. En faite, elle avait était relativement rapide. Le jeune homme avait filé à toute allure, mettant une bonne distance entre l’appartement de la jeune femme, et le sien. Il y avait plusieurs raison à cela. La première, était qu’il voulait se mettre en sécurité le plus rapidement possible. La seconde, était de semer d’éventuels poursuivants, en poussant son bolide à une vitesse folle. La troisième, moins évidente, mais très importante, était de partir avant que d’autre tueur n’apparaisse. Liam ne savais pas vraiment s’ils étaient poursuivit ou pas. S’ils étaient poursuivit ou pas. Mais il savait que chez lui, plus rien ne pourrait lui arriver.

Contrairement à certaine personne, qui semblait reprendre confiance en soit à peine arrivé dans leurs quartiers, croyant qu’il ne peut rien leurs arriver, Liam savait qu’il ne serai en sécurité que chez lui. Il ne comptait sur personne. Et ce n’était pas spécialement son appartement qui les mettrait en sécurité. Il aurai pu vivre dans n’importe quel autre endroit, cela n’aurait rien changé. Il avait confiance en ce qu’il y avait chez lui. Et puis de toute façon… Personne ne savais où il vivait. Sauf une fille, qui l’avait déjà cueilli chez lui.

Il s’en était pas trop trop mal sorti, bien que la confrontation vu ardu. Bref. Il arriva au niveau de son immeuble, et ralenti. Il ne se sentait pas encore en sécurité, mais savait que cela était nécessaire. Il se dirigea vers le parking souterrain, chose qu’il faisait très rarement. De une, pour cacher sa voiture, et ne pas alerter les gens qu’ils étaient ici, et de deux, car si confrontation il devait y avoir, il aurait plus d’espace dans le parking qu’en surfasse. Mais, lorsqu’il se gara, aucun souci ne semblait transparaître. Il s’apprêtait à sortir de la voiture, afin de tout vérifier, mais la jeune femme avait était plus rapide. Un petite vague de colère et d’assentiment monta en lui, et il s’apprêtait à lui faire une remarque lorsqu’elle le tira hors de sa voiture, et le plaqua contre celle la.

A quoi elle jouait, maintenant ? Il la regarda droit dans les yeux, mais ne s’attendait pas à cela. Elle se jeta contre lui, pour l’embrasser de manière très langoureuse. Et vous devez bien imaginer que cela ne laissa pas le jeune homme indifférent. Une nouvelle vague de désir le frappa, effaçant toute pensée rationnelle, et il se retourna pour plaque la jeune femme contre la voiture, se collant à elle, prolongeant le baiser, faisant glisser ses doigts le long de la jambe de sa compagne, qu’il avait remonté contre lui. Cela n’alla pas plus loin cependant. Pas encore. Lorsqu’il rompit le baiser, il relâcha la jeune femme, et se retourna vers sa voiture. Tandis qu’elle allait vers le coffre, afin de le vider de son contenu, Liam s’affaira à faire de même avec les affaires qui jonchaient la banquette arrière. Lorsque la voiture fut entièrement vide, il se dirigea vers l’ascenseur, n’oubliant pas de verrouiller son véhicule.

Lorsque la jeune femme lui demanda à quel étage ils devaient se rendre, son esprit s’embruma. L’ascenseur. Ce fameux ascenseur, où dans presque tous les films, les couples se lancent dans des ébats passionnant et sulfureux. Déjà que le corps du jeune Liam lui en demandait énormément, l’épreuve de l’ascenseur ne serai pas très simple. Il n’eut pas vraiment le temps d’y réfléchir, que la cage d’ascenseur arriva rapidement. Il lui indiqua le numéro de l’étage : 3. Cela ne leur faisait que cinq étages à monter. Peut-être que la monter serai rapide, et qu’ils n’auraient pas à trop endurer les caprices de leurs hormones.

Il entra à sa suite toute ses affaires, leur laissant même un peu de place pour eux même. Vraiment, la situation n’était pas très pratique. A croire que tout autour de lui le poussait à sauter sur la jeune femme. Bref. Il regarda les étages défilaient sur le compteur, attendant l’arrivé au cinquième. Il ne s’arrêta pas avant le second étage. Lorsque les gens devant la cage virent l’encombrement de l’ascenseur, ils soupirèrent, tandis que Liam refermait les portes. Il n’avait aucune envie de voir d’autres personne avec eux. Cela aurait probablement était beaucoup mieux, mais il avait choisi… Attendant d’être environ à la moitié entre le second et le troisième étage, Liam arrêta l’engin avec le bouton d’arrêt d’urgence. Il se tourna vers la jeune femme, et la plaqua contre le mur du fond, avec une certaine douceur relative à la puissance des désirs qu’il avait en lui, et emprisonna les lèvres de la jeune femme avec les siennes. Il craquait. Il abandonna se combat si difficile, et reprit où il en était dans le parking, faisant danser ses doigts le long du corps de sa compagne, leurs corps serré l’un contre l’autre.

La route avait été relativement courte jusqu’à chez lui, il avait roulé assez rapidement, même très ou trop rapidement au choix. Comme s’il guettait quelque chose, qu’il était traqué. Ou alors était-ce pour moi qu’il s’inquiétait, peut être de peur de se faire devancer par un de ses « collègues ». Même dans le parking il ne m’avait pas semblé plus détendu que lorsque nous étions sur la route. Lorsque je sortis de la voiture je vis sur son visage que je venais de faire une belle boulette, mais qu’importe, la suite avait semblé lui plaire au dessus de tout. Au départ il eu un regard d’incompréhension, avait il oublié ce qu’il avait fait lorsque nous quittions mon appartement ?

Il avait eu l’air d’avoir un plaisir immense à découvrir ce pourquoi j’avais été si pressée. J’avais songé qu’il se laisserait faire en répondant sagement or je me suis trompée, il s’est bien laissé faire mais se prenant totalement au jeu il me plaqua contre la voiture ramenant ma jambe contre sa hanche, sa main coulissant sur ma cuisse. Un long frisson me parcouru en même temps qu’une vague de désir incontrôlée. J’aurais voulue que cet instant dur encore et encore, mais, il rompit le baiser et se plongea à ‘arrière de la voiture pour prendre les dernières affaires.

Pendant ce temps j’avais posé les affaires du coffre devant la cage de l’ascenseur encore songeuse sur ce qu’il venait de se produire. Je ne sais pourquoi je n’arrivais pas à enlever ce sourire béat qui avait élu domicile sur mes lèvres. Je regardais cet ascenseur, lieu d’un grand nombre d’ébats, plus grand cliché du cinéma. Troisième étage, pas le temps de nous lancer dans une telle scène. Une fois que toutes mes affaires furent rentrées dans la machine il ne restait pas énormément de place pour nous deux. Si c’était filmé on aurait pus croire que c’était fat exprès… et bien non.

Je fixais le compteur qui indiquait les étages pour éviter de tourner mon regard sur le jeune homme et ne plus pouvoir m’en détacher. Les portes s’ouvrirent deux étages plus hauts nous laissant voir un groupe de gens complètement dépité devant l’encombrement de l’appareil. Les portes se refermèrent sur les visages pleins de désespoir de ces personnes, pour mon plus grand plaisir, encore et toujours seuls. Je n’avais qu’une envie qui me tiraillait l’estomac, être encore seuls une fois chez lui, profiter de cette solitude. Je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait à l’intérieur de moi lorsqu’il était là… Tout semblait si différent, compliqué mais en même temps si simple.
Soudainement Liam appuya sur le bouton d’arrêt d’urgence de l’ascenseur alors que nous étions entre deux étages. Ne comprenant pas tout de suite ce qu’il pouvait alors avoir en tête j’essayais d’articuler une phrase.

« Il y a un prob… »

Il se tourna face à moi me collant doucement contre le mur en m’embrassant langoureusement pour mon plus grand plaisir. Je sentis alors mon cœur s’emballer rapidement, ma main se posa sur sa nuque collant mon corps tout contre le sien. Je le sentais se détendre mais avec une certaine ferveur au fond de lui, comme s’il avait durement lutté contre quelque chose et qu’enfin tout se libérait, un poids qui se retire.
Je glisse mon autre main sur son torse sous son t-shirt, l’allongeant sur les sacs de voyages pleins de fringues juste derrière nous me laissant totalement aller. Ne cherchant plus la complication. Et tant pis pour ce groupe de vieux , il attendra. Il attendra…

Mes lèvres ne se séparaient toujours pas des siennes, ma langue allant chercher la sienne pour un baiser plus passionné qu’il ne l’était déjà.
Allions nous le faire ici, dans cette toute petite pièce, après seulement quelques heures de compagnie ? Je ne sais pas, mais tout ce que je sais c’est que nous n’aurions pas beaucoup de temps pour nous, l’arrêt manuel d’un ascenseur ne dure pas plus de dix minutes, c’est court, beaucoup trop court pour le projet que nous étions entrain d’engager…

Dans cette vague de passion qui s’était libérée de son corps, le jeune homme avait ressenti une intensité incomparable de désirs et d’ardeur. Comme si, dès la première seconde où il avait croisé son regard, le jeune homme avait comprit qu’il désirait la jeune femme à un niveau fou. Probablement même plus qu’il n’avait jamais désiré personne. C’était incroyable. Et légèrement flippant. Le fait est que la jeune femme avait une sorte de contrôle sur lui. Déjà, d’un coup, il voulait absolument la protéger, alors qu’il avait désiré la tuer, et la, il avait une vague de désirs plus puissante que toute celle qu’il avait ressenti. Et il en avait ressenti, figurez vous.

Il s’était collé contre la jeune femme, le jeune « couple » adosser au fond de la cage d’ascenseur. Il avait mis le plus de douceur dans ses entreprises, essayant de limiter la sauvagerie de ses désirs. Après tout, son but de protéger la jeune femme contre tout danger s’appliquer aussi a la protéger contre lui-même. Bref. Il l’avait embrassé avec la totalité de son désir, se jetant corps et âmes dans la rencontre, afin de montrer à la jeune femme qu’il n’était pas le juste pour plaisanter, ou juste pour la taquiner. Cependant, une multitude d’autres sentiments, moins apparents, le tressaillait. Je n’irai pas jusqu’à dire que c’était de l’amour, mais ça s’en rapprocher dangereusement. Probablement une très forte affection, qui finirait par leurs causer des problèmes, soyez-en sur. Bref.

Lors qu’il avait embrassé la jeune femme, et qu’elle avait collé leur corps l’un à l’autre, le jeune homme ressenti la totalité du corps de la jeune femme contre lui, ses désirs augmentant d’un coup. D’habitude, c’était plus par petite vague. Plus les choses avançaient, plus le jeune homme voulait continuer, tout en évoluant. La, c’était toujours le même principe, mais sauf que les « petites vagues » devenait dangereusement importante. S’il s’était laissé aller, et qu’il avait écouté son corps, il lui aurait déjà sauté dessus, si vous voyez de quoi je parle. Remarquez, ça commençait plus pas trop mal. Il remonta doucement la jambe de Emy contre son corps, s’immiscent légèrement entre elle, rapprochant leurs deux corps un peu plus. Ses mains commencèrent alors à danser sur ses cuisses, tandis que son autre main libre se dirigeait doucement vers les fesses de la jeune femme, qu’il comprima légèrement, rapprochant encore une fois leurs corps dans un contact encore plus physique.

Il n’arrêtait cependant pas de l’embrasser, de nouvelles vagues de passion l’assaillant. Lorsqu’Emy glissa ses doigts sous la chemise du jeune homme, imposant un contact froid mais agréable eu jeune homme, tout son corps se mit à frissonner. D’abord, à cause de la sensation, qui était terriblement douce ; et ensuite, à cause du désir que se simple geste provoqua en lui. Il relâcha son emprise sur pour remonter ses doigts vers son dos, sa jambe toujours collé à lui. Il fit doucement battre ses doigts sur la peau douce de son dos, jouant avec les effets de chaleur, pour la faire frissonner comme elle l’avait fait. Après tout, ça n’avait pas trop mal marché.

Elle l’allongea alors sur le tas de bagages qui se trouvait derrière eux, leurs permettant une position plus agréable, bien qu’encombrante. Le jeune homme lui sourit, et lui fit signe de s’approcher à nouveau de lui. Tandis qu’elle s’exécutait, Il la tira doucement par la taille, ou tout du moins, le plus doucement possible, et plongea à nouveau ses lèvres contre celles de sa douce compagne. C’était une sensation d’un agréable profond. A croire qu’ils étaient faits pour vivre cela, pour être ensemble. C’était peut-être finalement ça qu’il voulait. Vivre avec elle, quelque soit les circonstances. Bien sur, cela allait déjà arriver. Et Liam savait que c’était déjà une bonne chose, étant donné qu’ils ne se connaissaient que depuis très peu de temps. D’ailleurs, ça pouvait sembler bizarre. Mais pour le moment, le jeune homme avait d’autre idée en tête.

Alors que la jeune femme était contre lui, il glissa a nouveau ses deux mains en direction de ses fesses, afin de l’appuyer contre lui, désirant le plus de contact possible, ses baisers ne s’arrêtant pas. Il remonta ensuite doucement ses mains dans son dos, sous son haut, le remontant légèrement, tandis que ses mains remontaient. Il rompit le baiser, l’espace de quelques secondes, afin de regarder la jeune femme dans les yeux. Pwaaa. C’était sur, il allait finir par tomber amoureux, si elle continuait à le regarder comme ça. Il l’embrassa à nouveau, puis retira rapidement le haut de sa compagne. Après tout, ils n’avaient pas beaucoup de temps. L’ascenseur n’allait pas tarder à se remettre en marche, et si jamais quelqu’un se rendait compte qu’il était coupé, cela risqué de revenir encore plus vite.

Il n’avait pas forcement l’intention de finir cela dans l’ascenseur. Il n’avait même pas eu l’intention de commencer. Mais tout son corps, remplit de désirs, le suppliait de faire se qu’il avait à faire. Lorsque la partie supérieure de la jeune femme fut libéré du long morceau de tissu, qu’il fit tomber au sol, il descendit doucement ses lèvres dans son cou, l’embrassant tendrement, le pinçant par moment du bon des lèvres. Doucement, par la suite, ses lèvres descendirent un peu plus bas, se dirigea vers l’embrasure de son décolleté, où il commença à déposer de léger baisers, ses mains remontant rapidement le long de son dos pour libérer la poitrine de sa compagne, afin d’en profiter au mieux.

Rien, non rien n’avait pus égaler à ce jour ce sentiment si intensément fort et pourtant si fragile. Et je dois avouer que ça me faisait un peu peur même, me lancer corps et âme dans quelque chose sans avoir pus y méditer au calme avant était totalement fou, voir inimaginable, et pourtant, c’est exactement ce qui était entrain de se passer. C’est comme si quelque chose au fond de moi me poussais à réagir ainsi : à ne rien faire.
Sentir ses doigts glisser le long de ma peau qui se réchauffait au fur et à mesure que les secondes s’écoulaient, que l’envie grandissait devenant des plus en plus intenses.
Ses lèvres, ses mains, ses yeux, son souffle… Tout glissait sur moi d’une manière les plus douces et les plus sauvages à la fois, fort contraste que je ne saurais exprimer par des mots. Parfois ils ne suffisent plus laissant place aux actes.

Son corps se resserra une nouvelle fois contre le mien provoquant une vague de désir encore plus forte que précédemment. Il ne cessait de croitre encore et encore, de plus en plus fort, perturbant ainsi toutes les habitudes à cette situation. Il se passait des choses anormales quand j’étais avec lui, et ce, depuis notre premier échange. Le corps et l’esprit ne semblait plus ne faire qu’un, valorisant ainsi chaque effleurement, chaque caresse, chaque baiser, chaque regard… lui.

Ses lèvres entrèrent de nouveau en contact avec les miennes une fois nos corps allongés, sensation des plus troublantes et pourtant si agréable, à croire que nos lèvres étaient faites pour entrer en contact de cette manière, glissant mes mains sur sa nuque je sentis les siennes parcourir mon dos avant de retirer mon t-shirt pour ensuite aller titiller les agrafes de mon soutien-gorge.

On pouvait sentir toute la passion, le désir, la fougue tenue secrète dans chacun de nos gestes, voulus ou non. Rien que d’imaginer vivre avec lui me mettais dans une sorte d’état second, légèrement ailleurs, comme si j’entrais dans un monde à part ou rien ne pourrait arriver qui puisse contrecarrer nos plans.
Je laissais aller une de mes mains à la rencontre de ses abdominaux, immiscent ainsi mes lèvres dans son cou en fermant doucement les yeux. Je lui retirais aussi son vêtement pouvant apprécier la vue de son torse qui était loin, très loin d’être repoussante.

Soudain les lumières de l’ascenseur se mirent à grésiller, puis l’on entendit le bruit de la machine se remettre en route, les moteurs reprenaient leur course ne nous laissant pas le temps de vraiment progresser dans notre aventure. Je me redressais subitement mettant uniquement mon sous vêtement dans mon sac à main et enfilant mon t-shirt en quatrième vitesse. Je m’enlevais de sur le jeune homme, légèrement dégoûtée de pas avoir pus continuer ce que nous avions entrepris… A moins que nous puissions reprendre là où nous nous étions arrêtés une fois que nous serions arrivés à bonne destination.

Les portes s’ouvrirent sur le troisième étage, je tirais les valises sur le palier, puis attrapa Liam par la ceinture et le ramena à moi, collant mon dos au mur, le serrant contre moi, l’embrassant avec fougue, avec un désir frustré d’avoir été obligés de changé de lieux. J’essayais de ne réfléchir à rien, de profiter de l’instant à cent pour cent. Mais seulement ce n’est pas si facile lorsque la personne en face de vous a tenté de vous éliminé il y a un peu plus d’une heure… Et si… Et si une fois que je serais allongée, avec lui, une balle venait à se loger minutieusement dans ma tempe. Et si c’était une manière de m’amadouer, de me faire « prendre de la valeur » de m’avoir sous le coude au cas où il viendrait à vraiment manquer d’argent.

A la suite de ces idées je ne pus me résoudre à continuer, un peu à contre cœur je dois avouer. Je m’écartais de lui l’air un peu gênée m’excusant au prêt de lui prétextant que tout allait trop vite, ce qui était aussi le cas et qui nous faisait obligatoirement défaut. Je me sentais honteuse et complètement pas rassurée. Je me penchais au niveau de la caisse de voyage de mes boules de poil osant prétendre qu’elles ne supportaient pas être enfermée trop longtemps.

L’art et la manière de tout foutre en l’air, un gros bordel voilà ce que je suis.